Le blog de soumis-de-madame

Visions différentes

 

Parfois une même action se raconte de différentes manières parce qu'elle se voit et se ressent d'autant de manières qu'il y a de participants et de témoins.

Ami lecteur, en règle général quand je rencontre Ma Dame, pour l'instant, N/nous ne sommes pas plus nombreux que cela et pour ce qui est des témoins, N/nous préférions éviter en avoir. Du moins jusqu'ici.

Or Ma Dame aime les chats et Elle en a un à demeure qui est très gentil et qui vient désormais facilement vers moi car il m'a adopté. Pour lui, je fais désormais partie de son monde. Te dire que cela me vaut un bon point de la part de Ma Dame que de me voir dans les petits papiers de son chat serait un peu euphémisme: j'avais plutôt intérêt à être accepté de son chat. Et ce brave félin commence à y prendre goût puisqu'il devient témoin à part entière de N/nos rencontres, auxquelles, je te rassure, ami lecteur, il ne participe pas.

Voici, librement interprété, bien sûr, ce qu'un même événement peut susciter comme réaction chez les participants et les témoins dudit événement....

 

L'événement en lui-même

Le soumis arrive chez sa Maîtresse. Après les présentations d'usage, le soumis comme à son habitude se déshabille et demande à sa Maîtresse comment Elle souhaite qu'il se prépare pour Elle: lavage, nettoyage rapide, en profondeur? Madame annonce ses exigences et souhaite comme toujours que Son soumis soit le plus rapide possible, ce que Son soumis promet sans être le moins du monde certain de pouvoir tenir sa promesse.

La partie nettoyage étant terminée, le soumis rejoint sa Maîtresse. Nu devant Elle, assise dans Son fauteuil, sans qu'Elle ait besoin de le lui demander, le soumis s'agenouille, puis à quatre pattes et la tête posée sur les genoux de sa Maîtresse il Lui présente ses hommages respectueux attendant que sa Dame prenne possession de lui.

Elle lui pose le collier de soumission.

A partir de cet instant même s'il l'est en permanence il l'est plus que d'habitude car ces moments sont exclusivement consacrés à sa Maîtresse Qui le sait.

Elle joue avec ses seins ce qui n'a pas l'air de lui faire grand chose, puis avec ses parties génitales: Elle a trouvé à nouveau les limites de Son soumis et Elle en est contente.

Elle Se lève pour aller chercher cravache et martinet.

La Maîtresse aime le martinet mais pour faire plaisir à Son soumis, Elle commence par lui chauffer le corps avec la cravache qu'il Lui a offerte. Puis Elle en vient rapidement à Son instrument préféré. A l'exception de la tête et des parties génitales de Son soumis qu'elle épargne, les coups sont portés un peu partout sur le corps en privilégiant les parties charnues de Son soumis.

De temps en temps une caresse pour rassurer le "pauvre petit soumis" sur la pureté de Ses intentions à son égard, puis reprise des coups.

Estimant que le soumis a assez enduré comme cela et qu'Elle en a retiré suffisamment de plaisir, la Dame demande à celui-ci de compter les vingt derniers coups, ce qu'il fait. Après le dernier coup, le soumis remercie sa Maîtresse, Lui embrasse Ses pieds ainsi que Sa main gauche pour Lui témoigner toute la reconnaissance qu'il a envers Elle.

 

Vision de la Maîtresse

Mon soumis est encore en retard. Cette inexactitude récurrente chez cet homme devient agaçante parfois. Je peux comprendre qu'il est difficile d'être à l'heure en région parisienne, mais c'est quand même son affaire d'être à l'heure et pas la Mienne. N'oublions pas que Moi Je suis toujours à l'heure.

Il va falloir que Je le lui fasse comprendre, d'une manière ou d'une autre.

Le voilà enfin.

Pas trop de retard finalement: ça va...Mais Je vais quand même m'en souvenir.

il est toujours aussi poli et courtois, limite obséquieux, mais c'est tellement bon de voir un homme respecter les règles les plus élémentaires de la courtoisie. Et puis n'est-il pas un soumis? Donc....

"- Bonjour Mon soumis, j'espère que tu vas bien?"

il Me répond qu'il va bien.

il semble qu'il soit déjà quelque part ailleurs même s'il fait des efforts pour Me répondre.

"- Aujourd'hui, Mon soumis, J'aimerais que tu te prépares rapidement avec nettoyage en surface et pas en profondeur."

il acquiesce. il ne pose plus de questions et fait ce que Je lui demande de faire: c'est bien quelque part cette absence de curiosité et cette confiance.

il est nu devant Moi et se comporte comme s'il ne l'était pas, Moi-même Je ne le remarque plus tellement J'ai pris l'habitude de le voir ainsi.

il part vers la salle de bains et Je termine Ma dernière visite sur Internet avant d'aller M'installer dans Mon fauteuil. Je suis pieds nus et Mon chat est venu Me rejoindre pour Me tenir compagnie.

Cette attente est comme d'habitude: toujours trop longue. J'ai beau lui dire de faire vite on dirait qu'il prend un malin plaisir à faire durer son nettoyage. Décidément rien ne change chez Mon soumis.

Enfin le voilà. Propre et prêt. il se met à genoux.

Plus tout jeune Mon soumis....Mais c'est tellement bon de t'avoir à quatre pattes, offert ainsi et attendant que Je te mette ton collier.

Pas trop serré quand même: Je ne voudrais pas qu'il suffoque alors qu'il va avoir besoin d'air.

C'est bien de le voir ainsi Me présenter ses respects, M'embrasser la main gauche la porter à son front et puis sur sa tête. Je Me sens bien ainsi investie de cette puissance qui est la Mienne sur cet homme soumis.

il mérite malgré tout que Je le prépare physiquement et mentalement.

Que J'aime lui torturer le bout des seins! Dommage qu'aujourd'hui J'ai le sentiment que ça ne lui fait rien. il ne réagit jamais deux fois d'affilée de la même façon. C'est curieux cette différence de comportement d'une fois sur l'autre.

Mais là Je lui prend ses parties génitales que J'assure bien dans ma main. Je sais déjà qu'il ne supportera pas. Et c'est ça qui Me plaît.

Il va avoir doit à la cravache qu'il M'a offerte. il la supporte bien: un peu trop bien même. On va faire durer ça le temps qu'il faut mais pas trop.

Oui, il réagit bien. J'aime ces sursauts au moment où les coups sont portés. Et même s'il ne gémit pas ou si peu, Je le sens qui régule son souffle pour absorber coups et douleur. il vit ce qu'il ressent et il le fait pour Moi.

Mais maintenant c'est à Moi à vivre ces moments avec Mon instrument, avec Mon martinet.

Les lanières en sont serrées. Parfois elles tombent bien écartées et "arrosent" un maximum de surface possible de son corps, parfois elles sont serrées et tombent sur lui en une masse compacte faisant de ce martinet un knout plutôt qu'autre chose. Aucun coup n'est pareil. Je lui épargne la tête, mais pour le reste tout y passe. De temps en temps Je M'arrête pour le caresser. Je le rassure et Je récupère aussi de mon côté: charité bien ordonnée commence par Soi-même.

Je Me sens bien!

Aujourd'hui il ne réagit pas trop: il est déjà ailleurs mais Je le vois qui souffle profondément, Je vois ses mains qui se serrent après chaque coup. Il supporte mais c'est à la limite. Je force, il peut aller plus loin mais Je préfère ne pas insister.

Il est temps d'arrêter. Je ne veux pas le détruire.

"- tu comptes les vingt derniers coups Mon soumis?"

Et il compte, plus ou moins facilement. Parfois il fait ça mécaniquement, parfois il s'amuse à compter cinq ou six fois un même coup, provoquant ou simplement désireux d'allonger la séance pour Me faire plaisir - ou se faire plaisir: Je ne sais pas. Mais, au fond, ça Me va.

Voilà, c'est fini. il a été bien. Il M'embrasse la main, Mes pieds: J'adore ça. Là il est bien à Moi et rien qu'à Moi, sa Maîtresse. Le reste ne compte plus.

 

Vision du soumis

je suis en retard, je sais qu'Elle n'aime pas ça et qu'Elle fait un effort terrible pour ne pas me le reprocher puisqu'Elle me l'a déjà dit. j'ai intérêt à être encore plus disponible pour Elle afin qu'Elle ne m'en veuille pas trop. Ce serait dommage de rester sur une mauvaise impression.

je suis là devant le portillon et je sonne une fois. Sa sonnerie fonctionne: je ne sonne pas, j'attends car je sais qu'Elle va venir et m'ouvrir.

je peux attendre, moi le soumis, mais pas Elle.

Elle arrive avec cet air lointain mais en me disant bonjour. Elle est comme un chat qui va attraper une souris en lui faisant croire qu'il ne s'intéresse pas à elle alors qu'il attend le moment propice pour lui sauter dessus.

je prends Sa main et je Lui fais un baisemain tout en me disant que j'em.... Ses voisins. C'est ma Domina, flûte!

N/nous entrons chez Elle. Il fait sombre et j'ai toujours un peu de mal à habituer mes yeux. Mais je connais les lieux et cela m'aide.

Elle me demande si je vais bien et je Lui réponds par l'affirmative: je sais qu'Elle s'inquiète réellement pour ma santé, mais je ne veux pas Lui causer d'inutiles inquiétudes, juste Lui dire ce qu'il faut qu'Elle sache mais pas trop. je veux qu'Elle soit bien.

je Lui demande comment Elle veut que je me prépare pour aujourd'hui. Elle me réponds que ce sera  a minima: extérieur bien propre, pour le reste ce ne sera pas la peine. j'en déduis donc que Ma Dame va me "travailler" au corps. je sens déjà cravache mais surtout martinet tomber sur moi.

La cravache je supporte sans broncher mais le martinet m'oblige à rechercher un état second que je ne trouve pas forcément toujours. je n'ai pas commencé à me doucher que je me repasse en boucle la façon dont tout ceci va se passer. Cela va peut-être durer quinze minutes ou deux heures ou plus mais il faudra que j'y sois préparé.

Avant de me doucher je me vide de tout ce dont mon corps peut se vider: on n'interrompt pas une rencontre pour un motif futile et je me dois pour Elle de ne pas Lui faire subir un tel affront.

Puis je me lave en n'oubliant aucun recoin afin de ne pas souiller Ses mains sans oublier que j'aurais à Les embrasser qu'Elles m'aient châtié ou caressé.

je me sèche longuement tout en sachant qu'il restera des traces d'humidité. Puis je me rends au lieu où Elle m'attend patiemment depuis trop longtemps: je suis trop lent pour cette préparation que je veux être parfaite pour Elle.

Elle est là, assise sur Son fauteuil qui fait office de trône. Elle ne cille pas et reste impassible. Elle sait que je n'ai pas besoin de directives pour m'agenouiller devant Elle avant de me mettre à quatre pattes le front posé sur Ses genoux.

j'attends qu'Elle me pose mon collier, ce qu'Elle fait avec la même gestuelle. Dernière vérification pour voir si il y a un peu d'espace entre le collier et mon cou: tout va bien, Elle le ferme en passant la sangle dans le passant.

je prends Sa main gauche que j'embrasse et que je porte à mon front avant de La poser sur ma tête et mon front sur Ses genoux.

Maintenant, je suis à Elle.

Elle joue avec moi. Elle me torture le bout de mes seins. je pense à la douleur et à la façon de l'évacuer. je ferme les yeux, je me replie dans mon monde et cette douleur je l'accepte, je lui dit d'irradier de chaleur mon corps depuis mes seins, je la répartis pour la rendre plus acceptable. je respire profondément et j'expire doucement. je supporte.

Elle me saisit les testicules, les soupèse et les torture à leur tour. Mais là, j'aurais beau essayer d'accepter la douleur et de respirer longuement, je sais que je n'arriverai pas à gérer la douleur. De fait quand malgré tous mes efforts elle devient inacceptable, je capitule.

Elle est heureuse: Elle a triomphé sur moi.

Maintenant Elle se lève et me demande de rester ainsi et de m'appuyer les bras sur Son fauteuil attendant qu'Elle revienne.

Quelques instants de silence et Elle est là.

Elle me caresse doucement puis me tapote avec un instrument afin que je me prépare mentalement à la suite.

C'est la cravache que je Lui ai offerte. je sais que je la supporterai mais je sais aussi que ce ne sera qu'un préalable au martinet que j'aime moins.

Et Elle tape, doucement, puis de plus en plus fort. Elle y met tout son coeur et moi tout le mien pour absorber les coups: j'essaye de ne pas résister. C'est comme nager dans une rivière: on se fatigue moins à nager avec le courant que contre le courant. On supporte mieux la douleur si on apprend à l'accepter au lieu de lutter contre elle.

De temps en temps, Elle me caresse, puis Elle reprend.

Vient un moment de court répit. Elle change d'instrument: c'est le martinet.

Elle commence toujours par les fesses, doucement puis de plus en plus fort afin d'avoir l'objet bien en mains. Puis c'est parti en respectant un équilibre droite-gauche dans la distribution. Elle ménage ma tête, je serre un peu mes cuisses en accord avec Elle car ces parties là sont hypersensibles. 

je la sens bien autour de moi.

je ferme les yeux mais je ne sais pas jusqu'où j'irai. Elle tape plus fort, je ne sais pas combien de temps je tiendrai et pourtant il faut que je tienne et je ne sais pas si j'y arriverai.

Et puis Elle me demande compter les vingt derniers coups.

je le fais.

Non, on ne peut pas appeler cela un coup, je ne le compte pas en tant que tel aussi je redonne le numéro du coup précédent pour signifier à Ma Dame que je ne comptabilise pas ce dernier coup et qu'Elle a donc la possibilité de me le redonner.

A vingt, Elle s'arrête.

je relève mon buste, puis je me repenche à nouveau et j'embrasse Ses pieds puis me relève en position agenouillé pour en faire de même avec Sa main gauche en La remerciant.

Elle semble satisfaite. je suis à Elle.

 

Vision du chat

Qu'est-ce qui se passe aujourd'hui avec ma compagne ?

Elle n'arrête pas de bouger depuis dix minutes.

Elle a l'air un peu agacée.

Oh! j'y suis, elle va recevoir l'autre animal de compagnie.

Je n'y comprends rien: à chaque fois j'ai l'impression qu'elle s'en débarrasse et puis il revient toujours. Faudrait quand même qu'elle sache ce qu'elle veut.

Ces humains sont inconstants.

Comme si elle n'en avait pas assez avec moi pour aller chercher cet incompétent.

Et puis l'autre on dirait qu'il ne comprend rien à ma compagne. Chaque fois qu'elle le voit elle le tape. C'est à croire qu'il est bouché. Pourtant avec moi elle est si gentille. Faut vraiment qu'il lui en fasse voir de toutes les couleurs...

Ah ben tiens en parlant du loup....

Salut toi! je ne te demande pas si tu vas bien?

Toujours aussi miro? Ta vue ne s'améliore pas: on voit bien que tu n'es pas un chat...

Bon tu vas les oublier ce coup-ci tes chaussures que je puisse jouer avec les lacets? Nan, bien sûr, il faut que tu les ranges dans le placard.

Et il est content l'imbécile de cacher ses affaire: égoïste!

Espèce de chat-dique, va!

He ben voilà il est tout nu. Un imbécile qui n'a rien compris.

Hé la borne! Si tu viens pour te déshabiller à chaque fois, tu ne crois pas que tu gagnerais du temps à venir directement déshabillé. C'est simple comme bonjour, non?

 

Dis, ma compagne, il est pas top intellectuel ton nouvel animal de compagnie! Enfin, il n'est pas méchant c'est déjà ça.

Allez viens ici que je te caresse la main avec mon corps: au moins, même si tu n'es pas très intelligent, tu auras fait œuvre utile dans ta journée!

Bon, toi le nouveau, ma compagne et moi on va t'attendre ailleurs, mais si tu pouvais te manier, ça ne serait pas du luxe, crois-moi! Parce que quand tu es là, il n'y en a que pour toi et ça me gave...

Bon, chère compagne , moi j'y vais et tu me rejoins quand tu veux...

 

Voilà elle est là, elle s'assied dans le fauteuil que je lui laisse: je suis trop bon!

Et l'autre qui n'arrive pas.

On n'a pas que ça à faire.

Oh et puis zut! Moi je m'allonge et je dors.

Tant pis pour les caresses, elle s'en passera.

 

C'est quoi tout ce bruit.

Je dormais, moi.

Oooooooooouuuuuuuuuuah: vous me faites bailler. On ne réveille pas un chat qui dort: c'est lui manquer de respect.

Et ben voilà, ça y est, ça recommence.

Qu'est-ce que je disais!

Ma compagne  n'est pas contente du nouveau, et vas-y que j'te tappe, te pim et te pan et te vlan! Pourtant c'est pas dur de lui faire plaisir à ma compagne...

Ouch! Là ça a dû faire mal: faut dire que, quand même, compagne: les choses de la vie...

Ah, celui-là je l'aime bien surtout quand ma compagne l'utilise: on dirait un chat à neuf queues sauf que c'est pas un chat et qu'en fait il y a largement plus de neuf queues qui en fait ne sont pas des queues: même une seule comme celles-là à la place de la mienne, je n'en voudrais pour rien au monde.

Oh que je n'aimerais pas être à la place du nouveau!

Tu ne sais pas y faire le nouveau...A chaque fois que tu viens, tu prends ta dose. Tu n'es jamais lassé, toi, hein?

Alors que moi, quand je sens ma compagne un peu lassée, je me caresse contre elle une fois, deux fois et ça y est, elle est rassurée. Tu ne sais pas t'en occuper, moi je sais....Toute une éducation à faire. Tu n'es pas prêt d'être au niveau au rythme où tu vas, crois-moi.

Enfin c'est ton problème comme on dit.

Ah, ça y est, on dirait qu'il a compris. Ma compagne est enfin contente.

Il lui lèche les pieds pour lui montrer qu'il a compris: berk! Moi je ne fais pas ça, c'est indigne d'un chat.

Et puis c'est à chaque fois la même chose. Il dit qu'il a compris, elle le croit et la fois suivante, ça recommence.

Le nouveau est une borne: il aura tout oublié la prochaine fois.

Et quelque part je me demande si tu n'auras pas oublié toi aussi, ma compagne.

A croire que vous le faites exprès tous les deux!

Mais, chère compagne, comment peux-tu supporter ce stupide animal à la mémoire de poisson rouge? On n'est pas bien tous les deux? 

Décidément, les humains, vous me surprendrez toujours.

 

 

 

Pourquoi ce récit? Peut-être pour répondre à des interrogations que je vois sur un autre site: il y a plusieurs façons de voir le BDsM et presque autant qu'il y a de pratiquants et de non-pratiquants. j'ai moi-même participé à de longues discussions sur des thèmes assez simples somme toute et j'ai été très surpris de voir d'homériques batailles sémantiques se dérouler sans une seule goutte de sang -un comble! - pour finalement se terminer par un match nul tellement les gens ont choisi de camper sur leurs positions, moi le premier... Tu vois, ami lecteur, aujourd'hui, j'ai mis un peu d'humour dans mon récit, mais pas trop: j'espère que tu ne m'en voudras pas. C'est peut-être parce que j'éprouve quelques moments difficiles pour moi mais il n'y a aucun problème entre Ma Dame et Son soumis. Bien au contraire...
Ami lecteur, je te laisse en te souhaitant une bonne continuation.

 

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Sam 1 jun 2013 Aucun commentaire